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Débuter en plongée

Partez à la découverte de la plongée sous-marine et de la randonnée palmée au travers d'un baptême de plongée et d'une sortie en mer avec palmes, masque et tuba.

 

1. «Les plongeurs respirent de l’air»

Le plongeur qui respire sous l’eau a besoin du même gaz qu’il respire sur terre. De l’air, tout simplement et non pas de l’oxygène. Il emmène avec lui une réserve d’air sous pression dans une bouteille de plongée.

 

 

2. «La plongée en centre de plongée ou club, c’est sécurisé»

La pratique se déroule dans un environnement naturel. La plongée organisée en club ou centre de plongée permet une formation et un suivi des plongeurs tout au long de l’année. Même si l’activité reste toujours dépendante des conditions météo et de l’état de la mer, les plongeurs suivent des formations diplômantes qui sécurisent leur pratique.

 

3. «Faire de la plongée, c’est abordable»

La plongée se pratique aussi bien en club associatif qu’en centre de plongée professionnel. Chez ces derniers et selon une enquête sur 23 sites internet de structure commerciale agréée du 26 novembre 2013, le coût moyen d’un baptême de plongée est de 56€, d’une randonnée palmée encadrée de 28€, une exploration encadrée de 41€, une exploration autonome de 31€ et un niveau 1 de 385€. Des prix enfants ou famille sont souvent pratiqués.

 

4. «Une richesse sous-marine haute en couleur»

Le grand Ouest, composé de l’Océan Atlantique et de la Manche, est un site riche en faune et en flore. Les côtes rocheuses favorisent cette profusion en fournissant des habitats naturels propices à leur développement. On dénombre ainsi a minima 100 espèces observables à faible profondeur. Qui plus est, plus de 500 épaves historiques sont accessibles.

 

5. «Les femmes aussi pratiquent la plongée»

Les femmes représentent un tiers des pratiquants de sports sous-marins et la moitié dans des disciplines comme la nage avec palmes ou l’environnement et biologie subaquatique. On compte des championnes en apnée, nage avec palmes, nage en eaux vives, hockey subaquatique.

 

6. «On pratique toute l’année»

La mer est accessible en dehors de la pleine saison avec de bonnes conditions météorologiques. La pratique en lac et carrières aménagées a lieu toute l’année, sans restrictions climatiques. Dans les clubs associatifs, les plongeurs s’exercent une à plusieurs fois par semaine en piscine ou fosse de plongée. La plus profonde fosse de plongée est d’ailleurs actuellement en projet  dans le grand Ouest.

 

7. «Les plongeurs pratiquent aussi à l’intérieur des terres»

Seulement 30% des 301 clubs et centres de plongée professionnels du grand Ouest, sont situés sur le littoral. La majorité des structures se concentrent autour des agglomérations qui disposent de piscines ou de carrières aménagées. Ainsi, le département du Maine-et-Loire qui ne dispose pas de façade littorale, a un des plus grands nombres de pratiquants.

 

8. «La plongée est un sport»

La plongée d’exploration nécessite un entraînement permanent. Les clubs de plongée proposent des entraînements hebdomadaires en piscine afin de préparer au mieux la condition physique des plongeurs et des plongeuses. Des compétitions sont organisées pour les diciplines d’apnée, de tir sur cible, de nage avec palmes, nage en eaux vives, de hockey subaquatique…

 

9. «Ce qui compte, c’est l’observation d’épaves ou d’espèces sous-marines»

En plongée, il n’y a pas de recherche de record de profondeur. Chaque niveau de plongée permet d’explorer respectivement les zones de 0 à 6 mètres, 12 mètres, 20 mètres, 40 mètres et au-delà. Le plus important pour un plongeur reste l’observation d’épaves ou d’espèces marines, que celle-ci ait lieu à faible ou à grande profondeur.

 

10. «Les paliers ne sont pas toujours obligatoires avant de remonter»

Dans la plupart des cas, la plongée s’effectue sans palier, c’est ce qu’on appelle «plonger dans la courbe de sécurité». Des paliers sont nécessaires selon la durée et la profondeur de la plongée. Pour les plongeurs expérimentés, le calcul des paliers est grandement facilité à l’aide de matériels innovants tels que l’ordinateur de plongée qui indique la procédure à suivre.